Quel est le rôle du potassium dans le corps ?
Notre corps n'a pas la capacité de produire du potassium naturellement, donc une façon de maintenir des niveaux optimaux de potassium dans le corps est de manger des aliments riches en potassium, comme les betteraves, le saumon, le yaourt, les épinards, le melon. Le potassium joue un rôle clé dans le fonctionnement quotidien de notre corps.
Qu'est-ce que le manque du potassium peut provoquer ?
Une carence en potassium peut provoquer des palpitations cardiaques, des nausées et une faiblesse, donc si votre alimentation ne vous permet pas d'obtenir suffisamment de potassium, vous pouvez utiliser des suppléments de potassium. Allez voir le site pour tout savoir sur le rôle du potassium dans le corps. Sachez que les signes de faibles niveaux de potassium peuvent inclure l'irritabilité, la faiblesse musculaire, les crampes. Ceci peut aussi provoquer des battements cardiaques irréguliers, la constipation et la fatigue. Des taux de potassium inférieurs à 2,5 mmol/L sont considérés comme potentiellement mortels et peuvent entraîner une paralysie, une insuffisance respiratoire, une dégradation musculaire, un syndrome de l'intestin paresseux. Sans oublier le risque accru d'accident vasculaire cérébral. De plus, l'accumulation de preuves épidémiologiques au cours des dernières décennies montre qu'une faible teneur en potassium alimentaire est associée à un risque accru de résistance à l'insuline et de diabète.
Le rôle du potassium dans l'organisme
Le potassium aide à maintenir un environnement alcalin dans le corps, ce qui favorise la santé des os et préserve la masse musculaire. Il peut également aider à maintenir une fonction rénale et surrénalienne normale. Cependant, en cas de maladie rénale ou d'insuffisance rénale, une restriction potassique peut être recommandée. Un grand nombre d'études démontrent les bienfaits du potassium sur la santé, notamment en ce qui concerne le système cardiovasculaire. Par exemple, une étude en 1982 a révélé qu'un apport accru en potassium pouvait abaisser les niveaux de pression artérielle systolique de 2 à 3 mmHg, qui, à son tour, contribue à réduire le risque de maladie de mortalité par accident vasculaire cérébral de 4% et 6% respectivement.